En étant au contact avec différents professionnels du tourisme, voyageurs-tourdumondistes, blogueurs… nous réalisons que les envies de voyages évoluent avec la crise.
Nous allons nous intéresser aujourd’hui au “Slow Travel”, une “sous-catégorie” du mouvement Slow, plus global.
Pour définir ce terme en quelques mots, on peut dire que c’est un état d’esprit, une envie de se reconnecter à l’essentiel. Contrairement au Revenge Travel qui décrit un phénomène de surconsommation du tourisme, le Slow Travel désigne le besoin de prendre son temps, de découvrir de manière approfondie un lieu et ses habitants, d’identifier le moyen de transport comme étant partie intégrante du voyage, découvrir des destinations moins lointaines, être dans l’échange, ne plus se soucier du timing serré des visites touristiques souvent surpeuplées, rester plus longtemps sur place…
Le contexte actuel joue un rôle prépondérant sur le développement du Slow travel dans les mentalités des voyageurs. Ces derniers mois ont été l’occasion pour beaucoup de personnes d’ouvrir les yeux sur les impacts environnementaux causés par le tourisme de masse et le besoin de se reconnecter les uns avec les autres.
« Le Kazakhstan opte pour une politique sans visa Ouverture des bassins pour le PVT Canada le 1er mars »